la créatrice
derrière
superchinerie ?
Anouck enchantée !
Tombée très jeune en amour pour la seconde main, cette marque me trotte dans la tête depuis 10 ans. Fille de collectionneurs, ma passion pour les belles choses est instinctive. Naturellement ou viscéralement, cela m’a conduite à vouloir passer autant de temps que possible à chiner pour dénicher la perle (rare) !
En 2013 alors étudiante en école de mode, je rendais un mémoire de recherches sur l’upcycling avec comme problématique, une question qui me hantait déjà "pourquoi continuer à gaspiller la mode ?"
Préoccupée par la durabilité et la course à la consommation, la seconde main m’a toujours habitée. Un amour lié à ma passion pour les belles choses, celles qui durent, qui sont bien pensées, aux styles pluriels et qui dégagent une émotion. Mêlé à une conscience écologique grandissante, cela me donne la fâcheuse envie d’agir, de tout mettre en œuvre pour dépoussiérer l'image de la décoration chinée pour qu’elle rentre dans les habitudes.
de la mode à la table
Ancienne responsable de collection, j’imagine les sélections de superchinerie de la même manière que l’on conçoit un look, une silhouette. En ligne directrice, l’association des couleurs, des formes et des matériaux qui apportera un supplément d’âme à votre table. J’aime l’authenticité, les choses bien faites, le bon, le beau, le juste.
Le bonus perso ?
Je voulais vous livrer mon crédo, celui qui m’accompagne dans l’ensemble de mes décisions
(art de la table, déco, rénovation de notre maison légère, constitution de mes tenues, etc)
« L’équilibre idéal est à 75% chiné, le reste conçu de manière responsable ! »
© Portrait par Agathe Boudin